Utiliser les mots pour bâtir des ponts entre la générosité des donatrices et donateurs et les personnes vulnérables, c’est ce qu’elle fait de mieux.
Dans une autre vie, elle a fait de la radio communautaire à Québec et à Bankass, un petit village du Mali, et a étudié les marchés informels du Viêtnam et les systèmes d’assainissement d’eau d’Haïti avant de faire un bout de chemin avec l’équipe de Médecins sans frontières. Depuis qu’elle a déposé ses valises ici, elle a trouvé dans la lecture et l’écriture une façon de continuer de voyager, et de nouvelles causes ont pris une place importante dans son cœur.
Pourquoi Atypic?
« À cause de la gratitude que j’ai envers la vie. Je me considère foncièrement comme chanceuse et privilégiée, et j’ai l’impression de redonner par mon travail. C’est la suite logique de mon expérience terrain, une autre façon d’aller à la rencontre de l’autre et d’exercer mon muscle de l’empathie. »
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