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La montée fulgurante des assistants vocaux

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27 septembre 2018

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La montée fulgurante des assistants vocaux

OK Google! ou Alexa!

De plus en plus populaire, la recherche vocale est, d’après le rapport de GlobalWebIndex, déjà utilisée par 27 % des internautes, et le tiers des utilisateurs sont intéressés par l’achat d’un assistant vocal dans la prochaine année (moi incluse)! D’après Gardner, en 2020, 30 % des recherches se feront sans l’aide d’un écran.

On parle maintenant de SEO (Search engine optimization), mais dans le futur, on parlera plutôt de VEO (Voice engine optimization).

Comment ça fonctionne?

Nous avons déjà été initiés à cette technologie grâce à nos téléphones intelligents (Siri, Cortana, Bixby, Assistant Google). Par contre, puisque les assistants vocaux sont toujours prêts à recevoir des commandes, ils doivent rester branchés.

Les assistants vocaux sont d’ailleurs en constant mode d’écoute, ce qui reste la principale inquiétude pour ses utilisateurs quant à la protection de leur vie privée.

Vous activez l’assistant avec un « mot d’appel ».

OK Google ou Hey Google sont les mots clés qui lancent l’assistant vocal de Google Home. Il ne faut pas oublier que Google détient un quasi-monopole dans le marché des moteurs de recherche et qu’il sera primordial dans le futur que l’entreprise optimise son site pour s’adapter aux assistants vocaux.

Il reste néanmoins que c’est Amazon qui détient l’assistant vocal le plus vendu, on le lance à l’aide des mots Alexa, Echo ou Computer.

Et bien sûr, Apple détient également une part du marché avec son Apple Pod.

Ce n’est pas surprenant d’apprendre que ce sont les milléniaux qui utilisent le plus les commandes vocales. Il faut surveiller leurs habitudes car ce sont eux nos futurs donateurs.

Ce n’est que le début….

Il ne faut pas oublier que les assistants vocaux sont encore à leurs débuts. Les fonctionnalités n’ont pas encore pris toute leur maturité et l’expérience utilisateur est encore pauvre.

D’ailleurs, nous sommes au stade où les utilisateurs recourent aux assistants vocaux pour obtenir de l’information plutôt que pour procéder à un achat ou poser une action. Les consommateurs sont encore un peu frileux à l’idée d’effectuer un paiement via un « robot ».

Voici des exemples d’information que les utilisateurs peuvent demander au sujet de votre organisme :

• Que puis-je faire pour aider les enfants atteints d’une maladie X?
• Quelle est la mission de la fondation Y?

Et le futur….

Imaginez :

• Faire un don rapidement de vive voix
• Devenir un donateur mensuel sans devoir remplir des formulaires fastidieux
• Acheter vocalement des billets pour un spectacle bénéfice
• Partager ou envoyer à notre réseau des campagnes qui nous tiennent à cœur… sans avoir à faire un clic.

Autant d’occasions en or qu’offriront les assistants vocaux au milieu de la philanthropie. Préparons-nous!

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